Catégorie : Santé

  • La CURCUMINE se révèle utile dans le traitement de tous les CANCERS

    La CURCUMINE se révèle utile dans le traitement de tous les CANCERSLa curcumine est une épice de couleur jaune qui entre dans la composition du curry et qui est souvent utilisée dans la cuisine indienne. Mais cette épice est bien plus qu’un ingrédient de base en cuisine.

    La curcumine est également utilisé depuis longtemps par la médecine traditionnelle chinoise (MTC) ainsi que par la médecine ayurvédique.

    La médecine traditionnelle l’utilise notamment dans le traitement de maladies hépatiques, de problèmes de peau, d’affections respiratoires et gastro-intestinales, de muscles froissés, de douleurs articulaires et dans le traitement des blessures en général.

    Ses bienfaits ont été largement décrits depuis dans la littérature médicale, et il a été reconnu que la curcumine – l’un des ingrédients bioactifs du curcuma qui a fait l’objet des études les plus poussées — favorise une bonne santé en général et protège d’un grand nombre de maladies.

    Elle possède en effet plus de 150 effets thérapeutiques potentiels, notamment des effets anti-inflammatoires et antimicrobiens, ainsi que de puissantes propriétés anti-cancer qui ont fait l’objet d’études approfondies.

    Pourquoi la curcumine est-elle un remède si puissant ?

    Les chercheurs ont découvert plusieurs mécanismes d’action de la curcumine, qui expliquent en partie ce qui en fait un remède si puissant :

    • Elle module environ 700 de nos gènes
    • La curcumine module positivement plus de 160 voies physiologiques
    • Elle rend les membranes cellulaires plus ordonnées
    • Elle affecte les molécules de signalisation. Il a par exemple été démontré que la curcumine interagit directement avec :
    • Les molécules inflammatoires
    • Les protéines impliquées dans la survie cellulaire
    • Les histones
    • Les intégrase et protéase du virus d’immunodéficience humaine de type 1 (VIH1)
    • l’ADN et l’ARN
    • Différentes protéines porteuses et ions métalliques

    Ces effets, parmi d’autres, expliquent les différents bienfaits de la curcumine sur la santé, ainsi que sa capacité à prévenir de nombreuses maladies.

    Selon une étude publiée dans les Natural Product Reports (rapports sur les produits naturels) en 2011, la curcumine aurait des vertus thérapeutiques pour le traitement des maladies suivantes :
    • Les maladies pulmonaires et hépatiques
    • Aussi Les maladies neurologiques
    • Maladies métaboliques
    • Les maladies auto-immunes
    • Aussi Les maladies cardiovasculaires
    Plus précisément, on compte aujourd’hui des centaines d’études qui ont révélé les propriétés suivantes de la curcumine et d’autres composants bioactifs du curcuma :
    • Ils favorisent un

    taux de cholestérol sain

    • Ils préviennent l’oxydation des lipoprotéines de basse densité
    • Inhibent l’agrégation plaquettaire
    • Ils réduisent les risques de thromboses et d’infarctus du myocarde
    • Diminution considérable des symptômes associés au diabète de type 2
    • Aussi ils réduisent les symptômes de la

    polyarthrite rhumatoïde

    Ils réduisent les symptômes de la sclérose en plaques Ils protègent des dommages provoqués par les radiations et des intoxications aux métaux lourds Ils inhibent la réplication du VIH
    Ils réduisent l’inflammation systémique chez les personnes obèses Ils accélèrent la guérison des blessures Ils protègent le foie
    Ils augmentent la sécrétion biliaire Ils protègent de la cataracte Ils protègent de la toxicité pulmonaire et de la fibrose

    La curcumine peut aider à lutter contre la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies inflammatoires

    La curcumine est capable de traverser la barrière hémato-encéphalique, ce qui a poussé les chercheurs à explorer ses qualités potentielles comme agent neuroprotecteur dans le traitement de troubles neurologiques tels que les maladies de Parkinson et d’ Alzheimer.

    Les puissantes propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires de la curcumine laissent à penser qu’elle pourrait également être bénéfique pour la santé cérébrale en général. Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, une récente recherche sur les animaux a révélé un autre ingrédient bioactif du curcuma, qui ajoute aux effets neuroprotecteurs de la curcumine.

    Ce composant, la turmérone aromatique, favorise la prolifération de cellules souches endogènes neutres (NSC), cellules qui jouent un rôle important dans la réparation et la régénération du cerveau. Selon Adele Rueger, auteure principale :

    « Bien que plusieurs substances ont été identifiées comme favorisant la prolifération des cellules souches dans le cerveau, peu de médicaments favorisent en même temps la différenciation neurale des cellules souches, qui constitue un objectif majeur de la médecine régénératrice. Nos découvertes concernant la turmérone nous rapprochent de cet objectif. »

    La curcumine pourrait également être utile. Une étude antérieure a montré que la curcumine aide à inhiber l’accumulation de béta-amyloïdes destructrices dans le cerveau des patients atteints d’Alzheimer, ainsi qu’à détruire les plaques existantes liées à la maladie. Les personnes atteintes d’Alzheimer ont généralement une importante inflammation du cerveau, et la puissante action anti-inflammatoire de la curcumine est sans doute sa propriété la plus connue.

    Elle peut inhiber l’activité et les sous-produits métaboliques inflammatoires issus des enzymes cyclooxygénase-2 (COX2) et 5-lipooxygénase, ainsi que d’autres enzymes et hormones qui modulent l’inflammation.

    Les effets anti-inflammatoires de la curcumine peuvent également avoir des bienfaits dans le traitement de l’arthrose, une autre affection courante. Une étude publiée en 2011 a révélé que des patients qui avaient ajouté chaque jour 200mg de curcuma à leur programme de traitement avaient vu leurs douleurs diminuer et leur mobilité améliorée, en comparaison au groupe de contrôle. Une étude avait par le passé également révélé qu’un extrait de curcuma pouvait bloquer des voies inflammatoires, empêchant ainsi l’action d’une protéine qui provoque œdèmes et douleurs.

    La curcumine se révèle utile dans le traitement de tous les cancers

    Les puissantes propriétés anti-cancer du curcuma sont parmi ses plus formidables avantages. Les données probantes sur lesquelles reposent les rapports qui soutiennent l’usage de la curcumine dans le traitement du cancer sont bien plus nombreuses que pour tout autre nutriment, y compris la vitamine D ! Ainsi que le souligne le Dr. William LaValley—l’un des principaux cancérologues adeptes de médecine naturelle, que j’ai interviewé sur le sujet par le passé—la curcumine est unique en ce sens qu’elle est utile dans le traitement de pratiquement tous les types de cancers.

    Cela peut sembler étrange, quand on sait que les différents cancers sont en fait autant de pathologies moléculaires différentes. L’une des explications de cette prédisposition universelle anti-cancer de la curcumine est sa capacité à affecter différentes cibles moléculaires par le biais de différentes voies.

    Une fois qu’elle a pénétré une cellule, elle affecte plus de 100 voies moléculaires différentes.
    Et, comme l’explique le Dr. LaValley, que la molécule de curcumine provoque l’augmentation de l’activité d’une molécule-cible particulière, ou qu’elle l’inhibe, les études montrent qu’il en résulte au final invariablement une puissante activité anti-cancer.

    De plus, la curcumine n’est pas toxique et ne nuit pas aux cellules saines, ce qui suggère qu’elle cible précisément les cellules cancéreuses – de véritables avantages dans le traitement du cancer.

    La recherche a même révélé qu’elle agit en synergie avec certains traitements de chimiothérapie, renforçant l’élimination des cellules cancéreuses.

    La curcumine possède également une puissante action antimicrobienne

    La curcumine peut également aider à conserver un système digestif sain, et peut s’avérer efficace contre les infections provoquées par la bactérie Helicobacter pylori (H.pylori), telles que gastrites, ulcères gastriques et cancers de l’estomac. H. pylori affecte probablement plus de la moitié de la population mondiale et a été classé comme carcinogène de classe 1 par l’Organisation Mondiale de la Santé.

    Généralement, les infections par H. pylori sont traitées par antibiotiques, mais compte tenu de l’augmentation de la résistance aux médicaments, ces traitements sont de plus en plus menacés.

    La bonne nouvelle, c’est que la curcumine pourrait être une alternative viable. Une étude de 2009 a révélé que la curcumine stoppait effectivement la progression du H. pylori in vitro, quelle que soit la composition génétique des souches. Les chercheurs ont indiqué que chez la souris, la curcumine « a révélé un important potentiel thérapeutique contre les infections par H. pylori car elle s’est montrée très efficace dans l’éradication du H. pylori chez les souris infectées, de même que dans la restauration des dommages gastriques provoqués par le H. pylori ».

    Suggestions d’utilisation thérapeutique de la curcumine

    Bien que le curcuma soit disponible au rayon épices de n’importe quel magasin d’alimentation, sachez qu’il ne suffit pas de l’utiliser en cuisine pour obtenir des résultats cliniques. La racine de curcuma elle-même ne contient environ que trois pourcent de concentration de curcumine, qui est de surcroit assez mal absorbée par l’organisme. En le consommant sous sa forme brute, vous n’absorbez environ qu’un pourcent de la curcumine disponible.

    Même sous forme de supplément alimentaire, il y a peu de chance pour qu’il produise les effets indiqués dans les différentes études. Si vous voulez utiliser la curcumine à des fins thérapeutiques, vous pouvez essayer l’une des trois méthodes suivantes :

    1. Procurez-vous de l’extrait de curcuma de bonne qualité , certifié 100% biologique, composé au moins de 95% de curcuminoïdes. La préparation ne doit contenir ni additifs, ni excipients (une substance ajoutée au produit pour en faciliter le traitement ou en garantir la stabilité), et le fabricant doit respecter des méthodes de production sûres à chaque étape : plantation, culture, récolte sélective, puis production et emballage du produit fini.
    2. Faites une micro-émulsion à partir de poudre de curcumine brute. Mélangez une cuillère à soupe de poudre avec 1 à 2 jaunes d’œufs et une ou deux cuillères à café d’ huile de noix de coco fondue. Émulsionnez le mélange au moyen d’un mixeur-plongeur. N’oubliez pas que la curcumine est un pigment jaune très puissant qui peut décolorer définitivement certaines surfaces, donc prenez vos précautions pour éviter le « syndrome de la cuisine jaune. »
    3. Faites bouillir la poudre de curcumine. Une autre stratégie qui peut aider à augmenter l’absorption de la curcumine est d’en mélanger une cuillère à café dans un litre d’eau bouillante. L’eau doit bouillir lorsque vous ajoutez la poudre car elle ne se mélangera pas si bien si vous l’ajoutez à l’eau froide pour ensuite faire chauffer le tout.

      Après 10 minutes d’ébullition, vous aurez créé une solution à 12% que vous pourrez boire une fois refroidie. Elle aura une saveur boisée. Cependant la concentration en curcumine va diminuer progressivement. Au bout d’environ six heures, elle ne sera plus que de 6%, il est donc préférable de la boire dans les quatre heures.

    source (1)

  • Manger 100% naturel et bio : quels effets sur l’organisme dès 10 jours ?

    Si l’alimentation est de nos jours au centre de plusieurs débats, pensées et courants, ce n’est pas par hasard. Ce que l’on mange a des conséquences plus ou moins directes sur notre état de santé et sur l’environnement. Tel l’effet papillon, de simples petites bouchées peuvent avoir de grandes conséquences.

    Avec l’activité physique, l’alimentation est la meilleure des préventions pour rester en bonne santé. Nous sommes littéralement ce que nous mangeons dans la mesure où chaque nutriment servira à faire vivre et fonctionner correctement les cellules de notre organisme afin d’assurer le fonctionnement optimal de celui-ci.

    Cellules, Humaine, Médicaux, La Biologie, La Santé

    Cellules @Pixabay

    Ne pas respecter son corps en consommant des aliments « poubelles », c’est à dire des aliments industriels, transformés, vides de nutriments et remplis de pesticides aura pour conséquences de créer des dysfonctionnements de l’organisme : un système immunitaire moins résistant avec plus de risques de contracter des maladies (du simple rhume au cancer, beaucoup plus grave), une baisse de tonus et d’énergie, des difficultés à se concentrer, plus d’irritabilité, un moins bon sommeil etc.

    Français, Currywurst, Restauration Rapide, Frits
    Déjeuner adolescents @Pixabay
    Résultat de recherche d'images pour "Plats industriels supermarché"
    Plats industriels supermarché @Pixabay

    40% des cancers pourraient être évités avec une bonne hygiène de vie : alimentation saine, activité physique et environnement peu pollué

    Risque de cancers en moins40%

     En effet, selon l’institut national du cancer (1), 1/4 des cancers seraient lié à notre façon de manger et de boire. Ce sont les facteurs nutritionnels comme l’excès de viande, de charcuterie, d’alcool, pas assez de fruits et légumes etc.

    De plus, selon le professeur Pierre Henri Martin, l’alimentation peut accélérer ou ralentir 1 cancer sur 2 (2).

    L’alimentation peut accélérer ou ralentir le cancer

    1 cancer sur 250%

    Les études sont donc unanimes. Une alimentation naturelle, variée et, au mieux, biologique, est CAPITALE.

    Pour appuyer ces fondements, je vous invite à découvrir 3 études de cas authentiques. Ces sont des personnes qui ont radicalement changé leur régime alimentaire pendant 10 jours à 1 mois. Ces personnes ont définitivement arrêté la nourriture industrielle et transformée pour ne consommer que des aliments 100% naturels bio ou non bio.

    Les résultats sont tout simplement surprenants. En seulement 10 à 15 jours d’alimentation naturelle et biologique, les taux de pesticides peuvent drastiquement chuter dans l’organisme des individus.

    La famille Japonaise : Reiko et ses deux filles

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    @Greenpeace Japan

    L’ONG Greenpeace Japan a demandé à une famille Japonaise (une mère, Reiko et ses deux filles) de tenter l’expérience de changer radicalement leur alimentation pour passer au bio pendant 10 jours. Des analyses d’urines ont été effectuées avant et après auprès d’un laboratoire indépendant Allemand. Les résultats du rapport de Greenpeace expliquent que le taux de pesticides dans les organismes des deux filles et de la mère a fortement chuté. Il a également été constaté que ce taux a chuté plus rapidement chez les enfants. En effet, selon Greenpeace Japan, « La dose de pesticides par poids corporel est probablement plus élevée chez les enfants en raison de leur petite taille » (3).

    Taux de pesticides avant @Greenpeace Japan
    Taux de pesticides après @Greenpeace Japan

    La famille Suédoise : deux adultes et trois enfants

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    Capture d’écran  » The organic effect  » @Coop

    La même expérience a été réalisée en Suède avec une famille entière (2 adultes de 39 ans et 40 ans ainsi que 3 enfants âgés de 3, 10 et 12 ans) qui ne s’est alimentée qu’avec des aliments biologiques pendant 15 jours. Cette expérience financée par Coop, une chaîne Suédoise d’épicerie bio a montré que les résultats des analyses des taux de pesticides ont énormément chutés après 2 semaines d’alimentation bio (4). Le seul bémol à apporter à ces expériences est que les pesticides présents dans les urines sont plus vites éliminés. Aussi, une analyse de sang n’aurait pas montré une chute aussi nette (5).

    Taux de pesticides Avant-Après / Capture d’écran  » The organic effect  » @Coop
    Taux de pesticides Avant-Après / Capture d’écran  » The organic effect  » @Coop

    Un jeune Néerlandais : Sacha

    Sacha
    Capture d’écran @LifeHunters

    Un jeune adulte Néerlandais en bonne santé, Sacha, a tenté l’expérience d’arrêter toute sorte de nourriture industrielle et transformée pendant 1 mois (plats préparés, sodas, jus de fruits, fast-food, chips etc.) pour ne manger uniquement que des aliments frais, bruts et cuisinés ainsi que de l’eau et/ou des smoothies aux fruits/légumes maison. Des tests d’efforts et des analyses de sang ont été effectués en laboratoire avant et après cette expérience. Les résultats ont démontré une perte de poids, une perte de masse grasse, une chute du taux de mauvais cholestérol, une meilleure tension artérielle, une glycémie sanguine (taux de sucre dans le sang) stable ainsi que des meilleurs résultats à l’effort (6).

    Explication des aliments industriels remplis de sucres
    Changement du mode d’alimentation avec des produits naturels et frais
    Changements Avant-Après. Dans l’ordre : poids, % de masse grasse, pression artérielle, cholestérol et glycémie (@LifeHunters)

    Conclusion

    Il n’y a pas photo ! Une alimentation naturelle, équilibrée et biologique permet d’être en bien meilleure santé ! Beaucoup moins de pesticides dans l’organisme, une glycémie stable, une meilleure tension artérielle, moins de masse grasse et plus d’énergie sont quelques résultats positifs que l’on peut avancer. Il en existe bien d’autres et il serait dommage de passer à côté de quelque chose d’aussi simple pour se faire du bien.

    Pour finir, notez que, si consommer des aliments naturels et biologiques permet de préserver notre santé, il en va de même pour la planète. Sans vous en rendre compte, acheter des produits frais, locaux et biologiques a un impact direct et positif sur l’environnement. Grâce à ce geste, vous participez à la préservation de la biodiversité (car vous n’achetez plus d’aliments pour lesquels doivent être utilisés des pesticides qui détruisent l’écosystème) et stoppez l’enrichissement des lobbies de l’agroalimentaire. Comme le disait Coluche : « Quand on pense qu’il suffirait que les gens ne les achètent plus pour que ça ne se vende pas ! »

    C’est l’exemple de Cuba qui a abandonné les pesticides depuis les années 1990. Cela a redonné vie à un écosystème et notamment aux abeilles qui permettent de faire récolter aux apiculteurs Cubains 45 kg de miel par ruche, soit le double des récoltes en France… ! (7)

    Pour aller plus loin

    Vous souhaitez apprendre à mieux manger pour retrouver santé, ligne et vitalité ?

    Découvrez le programme nutrition Synergie ici

    Sources : 
    1. http://www.e-cancer.fr/Actualites-et-evenements/Actualites/Les-cancers-en-France-2016-une-edition-100-interactive
    2. EAT, Gilles Lartigot 2013.
    3. Greenpeace Japan
    4. Human exposure to pesticides from food A pilot study For Coop Sverige AB. Jörgen Magnér, Petra Wallberg, Jasmin Sandberg, Anna Palm Cousins. Janvier 2015
    5. Selon Emmanuelle Kesse-Guyot, épidémiologiste de l »Institut national de la recherche agronomique (Inra) et en charge de BioNutriNet.
    6. LifeHunters
    7. http://positivr.fr/abeilles-cuba-pesticides-miel/

    Source

  • Sorbet banane maison sans sorbetière

    sorbet_banane_recette

    Après les glaces à l’eau maison, voici la recette du sorbet banane maison sans sorbetière !

    Bien que censés être moins caloriques que les crèmes glacées, la plupart des sorbets achetés contiennent encore beaucoup trop de sucre, de colorants ou d’additifs ! Or, il existe un moyen bien plus sain et économique de se faire plaisir avec des sorbets maison et ce, sans sorbetière.

    Utiliser des fruits congelés comme des baies ou une banane avec un simple mixeur permet de faire de supers sorbets 🙂 Cerise sur le gâteau, ce petit plaisir vous apportera des nutriments naturels que l’on ne peut pas trouver dans des préparations industrielles.

    C’est parti pour la recette !


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    Sorbet banane maison

    Sorbet banane maison sain, naturel et prêt en 5 minutes seulement !

    sorbet_banane_recette

    Temps de Préparation 4-5 minutes


    Instructions

    1. La veille, coupez votre banane en rondelle et placez-la dans un petit récipient au congélateur.

    2. Sortez votre banane congelé. Mettez-la dans votre blender ou récipient adapté pour mixer. Ajoutez le lait de coco et éventuellement du sucre de coco.

    3. Mixez le tout jusqu’à obtenir une texture crémeuse du type sorbet.

    4. Disposez la préparation dans un coupe à glace ou un bol et dégustez de suite.


    Notes

    Pour cette recette, il vous faudra un blender ou un mixeur plongeant. Pour ma part, j’utilise le mixeur plongeant Bamix (Bamix MX102117 Mono mixeur plongeant Rouge). C’est une marque Suisse très connue et très utilisée par les plus grands Chefs du monde de part sa qualité et sa solidité. Contrairement aux autres marques, ce produit se veut durable et a une tenue de vie d’environ 30 à 40 ans ! Il y a d’ailleurs une garantie à vie.

    Notez qu’il est aussi tout à fait possible de réaliser ce sorbet sans lait de coco ni sucre. Mixer simplement une banane congelée est aussi délicieux ! Vous pouvez aussi faire cela avec des baies congelées, c’est ultra simple. Si vous souhaitez apprendre à réaliser des glaces à l’eau maison, je vous invite à lire cet article.

    Source

  • Recette sorbet banane maison – SYNERGIE ALIMENTAIRE

    Bien que censés être moins caloriques que les crèmes glacées, la plupart des sorbets achetés contiennent encore beaucoup trop de sucre, de colorants ou d’additifs ! Ce sorbet banane maison est là pour vous sauver !

    En effet, il existe un moyen plus sain et plus économique de se faire plaisir avec des sorbets maison et ce, sans sorbetière. Utiliser des fruits congelés comme des baies ou une banane avec un simple mixeur permet de faire de supers sorbets

    Cerise sur le gâteau, ce petit plaisir vous apportera des nutriments naturels que l’on ne peut pas trouver dans des préparations industrielles.*


    Sorbet banane maison

    Sorbet banane maison sain, naturel et prêt en 5 minutes seulement !

    Sorbet banane maison sans sorbetière
    Temps de Préparation 4-5 minutes

    Instructions RECETTE SORBET BANANE maison

    1. La veille, coupez votre banane en rondelle et placez-la dans un petit récipient au congélateur.

    2. Sortez votre banane congelé. Mettez-la dans votre blender ou récipient adapté pour mixer. Ajoutez le lait de coco et éventuellement du sucre de coco.

    3. Mixez le tout jusqu’à obtenir une texture crémeuse du type sorbet.

    4. Disposez la préparation dans un coupe à glace ou un bol et dégustez de suite.

    Notes

    Pour cette recette, il vous faudra un blender ou un mixeur plongeant. Pour ma part, j’utilise le mixeur plongeant Bamix. C’est une marque Suisse très connue et très utilisée par les plus grands Chefs du monde de part sa qualité et sa solidité. Contrairement aux autres marques, ce produit se veut durable et a une tenue de vie d’environ 30 à 40 ans ! Il y a d’ailleurs une garantie à vie.

    Telechargez votre Guide ici

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  • Quel pain choisir pour votre ligne et votre santé ?

    Toutes les personnes qui souhaitent perdre du poids ou garder la ligne se posent toutes les mêmes questions : Peut-on manger du pain ? Est-ce que manger du pain fait grossir ? Quel type de pain choisir ?

    La plupart du temps, on entend dire que le pain doit être évité car il fait grossir. Et cela est vrai si et seulement si vous en consommez des quantités importantes mais aussi surtout si vous achetez les mauvais produits : les fameux pains « blancs ». Ce sont tous ces pains à base de farines raffinées et qui ont un index glycémique élevé (ce qui équivaut à manger du sucre !). Dans ce cas là, oui le pain fait grossir. Et cela a encore plus d’effet si vous consommez votre pain avec de la charcuterie, des féculents ou beaucoup trop de fromage. En revanche, si vous choisissez du pain bon pour votre santé et que vous n’en consommez que des quantités raisonnables, alors vous pouvez en manger tous les jours sans inquiétude ! En effet, lorsqu’il est bien choisi, le pain répond à toutes les recommandations en termes de composition nutritionnelle car il contient : des fibres alimentaires (qui facilitent le transit intestinal et provoquent une sensation de satiété), des glucides complexes ((essentiellement de l’amidon) qui, digérés, se transforment en glucose et fournissent de l’énergie au corps), des vitamines du groupe B (qui participent au bon fonctionnement cellulaire et du système nerveux), de la vitamine E (qui possède des vertus antioxydantes) et des minéraux tels que le potassium, le magnésium, le fer, le calcium et le phosphore.

    Voyons donc ensemble les pains que vous ne devriez jamais consommer et ceux qu’il faut absolument privilégier.

    Ceux à ne jamais consommer 

    1. Les pains « blancs » du type baguette, pain de mie ou même biscottes. Les pains « blancs » sont essentiellement fabriqués à base de farine de blé raffinée qui est dépourvue de 78% de ses fibres et nutriments (vitamines et minéraux). Avec un index glycémique compris entre 70 et 95, consommer ce type de pain fait fortement augmenter votre glycémie sanguine. En effet, cela  signifie qu’elle élève le taux de sucre dans le sang plus rapidement qu’un paquet de bonbons ou que du sucre de table avalé pur. Cela a donc aussi pour conséquence de favoriser les pics d’insuline et de favoriser le stockage de sucre en graisses (donc la prise de poids) mais aussi l’apparition du diabète avec le temps.

    2. Attention aux appellations du type « pain au 12 céréales », « pain complet aux graines », « pain de mie complet » ou « pain au blé entier ». D’abord stoppez tout type de pain de mie. Le pain de mie complet est un superbe produit marketing mensongé qui renferme en fait beaucoup de graisses hydrogénées, de sucre et d’additifs. Sans parler que le terme « complet » ne veut rien dire… car il y a très peu de vrai farine complète. Ensuite, même les « pains aux 12 céréales » ou avec des « grains entiers » peuvent êtres composés à partir de farine de blé raffinée ou de farine enrichie. Par exemple, dans le « pain de blé entier », le germe est le son sont éliminés en quantités variables. Ou encore, l’appellation « pain blanc enrichi » est en fait un pain dont le son et le germe ont été retirés et dont la farine est blanchie au chlore et au peroxyde, puis enrichie de vitamines et de minéraux. Lisez donc bien la liste des ingrédients ou demandez la à votre boulanger.

    3. Attention aussi aux pains avec un ajout de fibres. Là encore, même dans du pain blanc, on peut trouver beaucoup de fibres car elles ont étés rajoutés. Mais ce type de pain n’apporte en fait pas les nutriments essentiels à votre organisme…. et bien souvent les fibres rajoutés ne proviennent pas du blé et ne possèdent pas les mêmes valeurs nutritives.

    4. Ne pas toujours se fier à la couleur brune ou jaunâtre du pain. En effet, s’il est conseillé de choisir un pain avec une mie et/ou une croûte brune, bien souvent cette couleur ne veut pas dire que ce soit un produit bon pour votre ligne et votre santé. En effet, la couleur brune peut être obtenue par l’ajout de caramel ou de mélasse et non parce qu’il contient des grains entiers. Et la farine non blanchie contient des pigments caroténoïdes qui donnent une teinte jaunâtre à la farine, mais elle a été dépouillée du son et du germe.

    5. Evitez les pains à base de levure industrielle qui est bien trop souvent utilisée au détriment du levain.

    Ceux qu’il faut consommer 

    Avant tout, étudions l’anatomie d’un grain afin de bien comprendre comment choisir un pain bon pour sa ligne et sa santé. En effet, sachez que chaque grain de n’importe quelle céréale (blé, avoine, seigle etc.) se compose de trois parties:

    1. Le son (la couche extérieure) qui fournit une grande quantité de fibres et de vitamine B, ainsi que 50 à 80 % des minéraux du grain, comme le fer, le cuivre, le zinc et le magnésium.

    2. L’endosperme qui constitue la plus grande partie du grain (85 %). Il renferme la plupart des protéines et des glucides et une petite quantité de vitamine B.

    3. Le germe, qui est le plus petit des trois composants et qui regorge de minéraux, de vitamines B et E, de bons acides gras insaturés et de phytonutriments aux propriétés antioxydantes.

    Un «grain entier» comprend donc l’ensemble de ces trois parties et c’est cela qu’il faut privilégier.

    Aussi, lorsque vous allez acheter votre pain, il faut que:

    1. Le mot « entier » soit au premier rang des ingrédients. Il peut s’agir par exemple de «farine de blé ou de seigle entier». Quant aux «farine de blé», «farine blanche», «farine enrichie», ce sont toutes des farines raffinées dépourvues du son et du germe.

    2. La mention avec des compléments du type « avec le germe », « non dégermé » ou « intégrale » (comme dans la mention «farine de blé entier intégrale») soit inscrite. Cela confirme que tous les composants du grain entier ont été préservés. En effet, plusieurs boulangeries industrielles excluent le précieux germe de leur farine entière parce qu’il en réduit la durée de conservation. Cette farine s’appelle encore «entière» parce qu’elle contient au moins 95 % du grain de blé.

    3. Choisissez du pain au levain et non à base de levure industrielle boulangère. Le levain a de multiples vertus: il favorise une meilleure assimilation du calcium, du fer et du magnésium, il favorise la tolérance digestive du gluten, il s’attaque à l’acide phytique du blé (l’un des principaux anti-nutriments des céréales), il diminue l’index glycémique du pain grâce à ses bactéries lactiques. Enfin, il donne un bien meilleur goût au pain.

    4. Vous pouvez aussi opter pour les pains complets aux grains germés. Ce sont des grains entiers qu’on a laissés germer pendant 48 heures avant de les ajouter à la pâte. Le procédé de germination transforme certains amidons en sucres naturels, ce qui permet de réduire la quantité de sucre raffiné ajouté. De plus, la germination multiplie les vitamines, enzymes et bienfaits des grains.

    5. Sur les étiquettes, faites attention aux termes «bio» ou «moulu sur meule» qui ne garantissent pas qu’il s’agit d’une farine 100 % entière. Le plus important est de vérifier que la farine entière apparaisse en première position dans la liste des ingrédients. Et il est encore mieux d’avoir une seule farine plutôt que plusieurs. Il faut que les pains soient faits uniquement à partir de farines 100 % entières et portant la mention «intégrale», «non dégermée» ou «avec le germe». Libre à vous ensuite de choisir le type de farine que vous souhaitez : seigle, blé, épeautre etc. Par exemple, il est bon de savoir qu’avec une farine d’extraction « basse, » comme le seigle ou le son, le pain aura moins de valeur énergétique. Dans la farine T150, le grain est laissé entier avec ses enveloppes et son germe. Il est à la base du pain complet. À l’opposé, la baguette et les pains « blancs » courants sont fabriqués à partir de farine T55 ou T65. Entre ces deux extrêmes, on trouve des farines « bises » de type T110 et T80 qui constituent un bon compromis entre les farines complètes, dont la teneur en fibres ne facilite pas leur dispersion dans le bol intestinal, et les farines blanches, trop raffinées.

    6. Le cas de l’intolérance au gluten. Nombre de personnes ne consomment plus de pain car présentent une intolérance au gluten. Il est alors possible d’opter pour des pains sans gluten que l’on retrouve de plus en plus. D’une manière générale, il est conseillé d’éviter les pains à base de farine de blé même complète car le blé moderne à trop été modifié (mon article ici). Pour éviter totalement le gluten, vous pouvez aussi vous tourner vers le « pain des fleurs » (au sarrasin, au quinoa ou à la châtaigne). D’autres pains sans gluten sont également disponible, notamment à base de farine de riz, de maïs ou de pomme de terre. Si vous n’y êtes pas totalement intolérant, des alternatives au blé avec moins de gluten (mais toujours un peu) existent : par exemple le pain au petit épeautre (pas à l’épeautre) ou au kamut. Enfin, un mélange de céréales (orge, avoine, etc.) est toujours mieux que du blé seul.

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