Les maladies de civilisation, maladies liées aux changements de modes de vies récentes, sont l’obésité, le diabète, les maladies cardio-vasculaires et les cancers. Selon le professeur Joyeux 45 à 50 % des cancers sont dus à notre alimentation. L’obésité quant à elle est intiment liée au diabète et aux maladies de cardio-vasculaires.
Les grandes maladies infectieuses du 19ème siècle ont été éradiquées grâce à l’hygiène. Mise en œuvre dans le cadre de nos conditions actuelles de vie. Mais ces mêmes modes de vie ont suscité l’explosion des pathologies cardio-vasculaires et des cancers.
En d’autres termes : avant nous risquions l’infection aggravée par le manque de soins, et à présent l’empoisonnement par les produits chimiques aggravé par la surcharge de stress. Ce sont les diverses conséquences de ces situations que l’on appelle les « maladies de civilisation ».
Aujourd’hui, notre civilisation nous impose souvent une durée excessive du travail, des soucis professionnels, une insuffisance de sommeil et d’exercice physique, mais surtout de nombreuses erreurs alimentaires, des excès d’alcool, de tabac, de médicaments et de drogues… Toutes choses qui favorisent la survenue de maladies spécifiques.
Ceci n’est toutefois pas une fatalité, et il est possible d’échapper, grâce à d’autres modes de vie, à ces « maladies de civilisation ». Toute une prévention est rendue possible par des voies de santé naturelles. Pour cela, il suffit d’éviter les pollutions et les excès, et d’entreprendre une diététique et une supplémentation adaptées.
Il n’est d’ailleurs que d’examiner le cas de ces peuplades en bonne santé. Comme les Hounzas, les Sherpas du Népal, les Otomini ou même les Adventistes, qui vivaient centenaires et pratiquement sans maladie, pour se convaincre de l’excellence des préceptes de la diététique et de la vie saine.
En fait, la nature, lorsqu’on l’aime et la respecte, n’est pas si hostile qu’on voudrait le croire. Elle peut même limiter les risques de maladies graves, et nous permettre d’atteindre à une véritable santé.